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LES 4 ALIMENTS A BANNIR DANS UN REGIME PALEO

LES 4 ALIMENTS A BANNIR DANS UN REGIME PALEO

I) BANNIR LES SUCRES RAPIDES ET LIMITER LES GLUCIDES

L’organisme humain n’est pas fait pour métaboliser de grandes quantités de glucides, quelles que soient leurs formes, même complexes. La consommation en excès de glucides, surtout sous la forme de sucres raffinés tels qu’ils sont présents dans de nombreux produits industriels a un lien direct avec de nombreuses pathologies.
 
La consommation excessive de glucides, même complexes, fatiguent l’organisme humain qui n’est physiologiquement pas conçu pour les assimiler en grande quantité. Dès lors que les glucides constituent l’essentiel de l’apport calorique, les problèmes de santé se déclenchent tôt ou tard par épuisement des cellules, des organes et par fragilisation du système digestif.
Chez l’enfant, ces sucres ont encore plus d’effets délétères et entraînent des troubles du comportement tels qu’une agitation excessive, un manque de concentration et parfois de l’agressivité.
Les effets délétères du sucre sont par ailleurs renforcés par l’absorption d’additifs alimentaires.
Les sirops de fructose comme les sirops d’érables ou de maïs sont à proscrire impérativement. Le fructose d’un fruit, consommé avec sa peau et modérément n’est pas dangereux pour la santé, d’autant plus que le fruit, s’il est bio, apporte quantité de vitamines. Mais sous forme de sirops, c’est un produit toxique. Bien qu’ils soient classifiés en Indice Glycémique bas, les effets de ces sirops sont encore plus néfastes que le pic glycémique qu’ils ont pour mission d’éviter. Métabolisés dans le foie, ils y sont stockés et pourront à terme provoquer une stéatose hépatique, également connue sous le nom de maladie du foie gras, conduisant à terme à une cirrhose non alcoolique. Enfin, leur métabolisation génère des déchets : les triglycérides, qui polluent le système sanguin, l’acide urique, directement lié à des maladies rénales et à la maladie la goutte et les radicaux libres qui sont des molécules extrêmement réactives qui endommagent l’ADN.
Les glucides doivent représenter une portion limitée de l’apport calorique (de l’ordre de 20-30% maximum) et être consommés uniquement sous leurs formes complexes. On leur substituera une plus grande quantité de protéines, notamment animales et surtout une plus grande quantité de lipides, y compris des graisses saturées de qualité, telles que celles composant la noix de coco.
 

Les barres PALEO Nutrition® comportent peu de glucides et font la part belle à des protéines de qualité, à la fois animales et végétales, et à des lipides exceptionnels en provenance d’amandes et noix de coco biologiques.

 

II) BANNIR LES CEREALES ET LE GLUTEN D’UNE FAÇON GENERALE

Le corps humain n’est pas conçu pour métaboliser des céréales. Si vous en consommer, elles doivent être complètes et sans gluten et constituer une part très modérée de votre apport calorique. Leur principal problème provient de leur taux de gluten.

Afin d’augmenter leur rendement, les blés modernes ont subits de très nombreux croisements depuis les années 1960 et le nombre de leurs chromosomes a été multiplié par 3. Sans parler d’OGM créés en laboratoire, ces croisements ont néanmoins profondément changer la nature profonde des blés cultivés partout dans le monde.

De fait, aucun autre aliment que nous consommons n’a subi autant de modifications de son génome et encore moins en si peu de temps. On manque encore de recul pour estimer l’impact du gluten sur la santé humaine sur le long terme mais l’on sait déjà que ses effets ne se limitent pas à la maladie cœliaque.

Des études reconnaissent aujourd’hui le lien entre consommation de gluten et survenance de troubles neurologiques. On observe ainsi un taux élevé de cytokines, (peptides synthétisés par l’organisme à la suite de l’absorption de gluten et chargé de doper la réaction du système immunitaire), chez les malades d’Alzheimer, de Parkinson, de la maladie de Charcot, de la Sclérose en plaques et même chez les personnes atteintes d’autisme.

Le gluten est également un exhausteur de goût, un épaississant et un stabilisant qui entre dans la composition de nombreux plats modernes : pain, pâtes, semoule, céréales du petit déjeuner, pâtisseries, pâtes à tarte et à pizza, bières et autres alcools de grains comme la vodka, plats tout prêt de viande ou de poisson, soupes, potages et bouillons préparés, purée de pomme de terre en flocons, sauces préparées, margarine, fromages à tartiner, charcuterie industrielle, chocolat industriel, poudre pour boissons instantanées … .

Depuis déjà plusieurs décennies, l’on sait que le complexe mécanisme du vieillissement est accéléré par le déclin hormonal et le stress oxydatif.

La consommation régulière de produits à base de blé, quel que soit leur niveau de transformation, engendre la fabrication et le stockage par l’organisme de substances nocives, décuplant les effets du vieillissement et provoquant de nombreuses pathologies généralement associées à la vieillesse. Il s’agit des produits de glycation avancée, ou AGE pour Advanced Glycation End products. Les AGE jouent un rôle important dans la survenance de maladies (neuro)dégénératives, mais ils participent également au développement de maladie diverses et généralement attribuée à la vieillesse comme l’arthrite, l’insuffisance rénale ou encore la cataracte et la dégradation des cartilages (surtout des hanches et des genoux).

 

Une fois constitué dans l’organisme, ces substances ne peuvent plus être éliminés et s’accumulent dans les tissus pour former des amas de débris dévastateurs à long terme. L’accumulation de ces débris provoquent à long terme des dégâts considérables sur les tissus (des reins, du foie, des yeux, de la peau et de nombreux autres organes) ; ils voilent le cristallin (cataracte), durcissent les artères (athérosclérose) et entraînent la démence en perturbant les liaisons cérébrales.

 Les barres PALEO Nutrition®, sont sans Céréales ni Légumineuses et sans Gluten.

 

III) BANNIR LES ADDITIFS ALIMENTAIRES

Un additif alimentaire est une substance artificielle ou naturelle ajoutée aux aliments afin de les modifier, les préserver, les parfumer, les colorer, les stabiliser ou encore en améliorer la texture ou les qualités organoleptiques, c’est-à-dire le goût, la texture ou l’odeur.

Les additifs alimentaires sont couramment utilisés par l’industrie agroalimentaire. Ils interviennent dans une majorité de processus industriels, qu’il s’agisse de la fabrication à proprement parler, mais également la préparation ou l’emballage.

Les effets des additifs alimentaires ne sont pas immédiats, mais subtilement, sur la durée, ils affectent votre organisme de multiples façons.

Ces molécules jouent un rôle actif dans l’apparition et le développement d’infections, de troubles endocriniens ou encore métaboliques (telle que l’obésité), mais également la fréquence des troubles neurologiques ou dégénératifs et, chez l’enfant, ils entraînent des difficultés d’apprentissage et des problèmes de concentration ou des troubles du comportement.

 

Les barres PALEO Nutrition® sont sans Additifs Alimentaires.

 

IV) BANNIR LES PRODUITS LAITIERS

Les produits laitiers ne favorisent pas la santé du système osseux humain ; c’est même tout l’inverse.

En participant à l’inflammation généralisée et chronique de l’organisme, la consommation de lait de vache participe au phénomène de décalcification de l’organisme.

L’inflammation généralisée de l’organisme concourt à la perméabilité intestinale qui entraîne la malabsorption de certains micronutriments fondamentaux comme la vitamines D. La vitamines D joue un rôle essentiel dans la santé osseuse en favorisant l’absorption du calcium (et du phosphore) par l’intestin et contribue au maintien d’une densité minérale osseuse optimale.

La consommation de produits laitiers provoque des problèmes digestifs dans la mesure où tous les mammifères, y compris l’être humain, perdent la capacité à digérer le lait à l’âge adulte en raison d’une désactivation naturelle d’un gène responsable de l’activité de la lactase, l’enzyme qui permet la digestion du lactose, le sucre du lait. Une fois parvenu à l’âge adulte, ce lactose est considéré par l’organisme comme un corps étranger qui réagit violement. La digestion du lait provoque alors une fermentation et l’émission de gaz toxiques (hydrogène, méthane et acétate de méthyle) pouvant affecter les systèmes nerveux et cardiovasculaires mais également le foie et les muscles tout en contribuant à l’affaiblissement du système immunitaire.

Le lait est en outre pollué par des hormones femelles en grande quantité, néfaste pour l’être humain qu’il s’agisse d’une femme ou d’un homme. Les vaches des exploitations laitières sont inséminées artificiellement sans arrêt durant toute leur vie afin de leur faire produire du lait. Aussi leur lait présente-t-il un niveau élevé d’hormones femelles (œstrogènes et progestérone) car on le prélève jusque dans la deuxième moitié de la gestation, c’est-à-dire au moment où il est le plus élevé. En outre, ce lait présente une dose importante d’hormones de croissance IGF-1, véritable toxique pour le système osseux humain.

Le lait présente une forte dose de caséine, une protéine non assimilable par l’être humain et qui déclenche la fabrication d’anticorps. Les propriétés inflammatoires de cette protéine la font suspecter de favoriser la survenance d’arthrite rhumatoïde.

Enfin, en pasteurisant le lait avec la technique U.H.T pour Ultra Haute Température, on supprime certes les bactéries susceptibles de le faire périmer plus mais on détruit également les « bonnes bactéries » qui permettent sa fermentation naturelle. Le lait que nous consommons est un lait « inerte » qui, privé de sa capacité naturelle de fermentation (comme dans le kéfir), pourrit au sens propre du terme dans le tube digestif humain.

Le lactose est fréquemment employé par l’industrie agroalimentaire pour ses propriétés conservatrice, émulsifiante ou bien pour fixer des arômes, favoriser le brunissement du pain, des gâteaux industriels ou encore des chips ! Le lactose est également présent dans les charcuteries, les sauces et condiments, les bonbons …

 La vitamines D peut être obtenue en s’exposant (brièvement et de manière raisonné) à la lumière du soleil et dans l’alimentation. On en trouve dans certains poissons gras, le jaune d’œuf ou encore l’huile de foie de morue et notre organisme assimile mieux le calcium en provenance de légumes crucifères comme le chou kale qu’en provenance d’un quelconque produit laitier.

Vous trouverez également de la vitamines D dans les légumes feuillus, les oléagineux (surtout les amandes), les graines (surtout les graines de sésame), les figues, les oranges, les abricots secs, le chou chinois ou encore les fruits de mer (surtout lorsque l’on consomme les os, comme c’est généralement le cas avec les petites sardines).

 

Les barres PALEO Nutrition® sont sans Produits laitiers.

 

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