LE DANGER DES ADDITIFS ALIMENTAIRES
Un additif alimentaire est une substance artificielle ou naturelle ajoutée aux aliments afin de les modifier, les préserver, les parfumer, les colorer, les stabiliser ou encore en améliorer la texture ou les qualités organoleptiques, c’est-à-dire le goût, la texture ou l’odeur.
Il existe 23 catégories d’additifs alimentaires : conservateurs, antioxygènes, émulsifiants, sels de fonte, épaississants, gélifiants, stabilisants, exhausteurs de goût, acidifiants, correcteurs d’acidités, antiagglomérants, amidons modifiés, édulcorants, poudres à lever, agents moussants, agents d’enrobage, agents de traitement de la farine, affermissants, humectants, séquestrants, enzymes, agents de charge, gaz propulseurs et gaz d’emballage.
Depuis les 30 glorieuses, les additifs alimentaires sont couramment utilisés par l’industrie agroalimentaire. Ils interviennent dans une majorité de processus industriels, qu’il s’agisse de la fabrication à proprement parler, mais également la préparation ou l’emballage.
Leur usage est encadré par une réglementation très stricte, mais leur accumulation dans les produits consommés au quotidien peuvent dépasser les normes de l’acceptable et provoquer des intolérances et parfois des allergies.
On ne connaît pas réellement les effets sur la santé de chacun d’entre eux, notamment à long terme. Toutefois, certains additifs alimentaires sont suspectés d’être réellement dévastateurs.
Parmi les 23 catégories d’additifs alimentaires autorisés, certains sont plus dangereux que d’autres. Par exemple les excitotoxines que sont le glutamate (E620 à E625), l’aspartame (E951) et la L-cystéines (E920), considérées comment de véritables neurotoxiques ; c’est-à-dire qu’ils ont la faculté de détruire les neurones.
Les exitotoxines ont la propriété de surexciter les neurones jusqu’à leur surcharge pour, à terme, conduire à leur épuisement et finalement leur destruction.
Ces molécules jouent un rôle actif dans l’apparition et le développement d’infections, de troubles endocriniens ou encore métabolique (telle que l’obésité), mais également la fréquence des troubles neurologiques ou dégénératifs et plus récemment la difficulté croissante d’apprentissage et de concentration des enfants, constaté dans le monde occidental depuis maintenant plus de 20 ans.
Outre la quantité cumulée d’additifs alimentaires, se pose également la question de leur synergie pouvant aggraver leurs effets.
Les effets des additifs alimentaires ne sont pas immédiats, mais subtilement, sur la durée, ils affectent votre organisme de multiples façons.
Sur les enfants, leur consommation entraine des dégâts neurologiques durables et trop souvent associés à consommation excessive et précoce d’écran qui, bien que préjudiciable, ne saurait suffire à expliquer entièrement. Les additifs, tout comme les sucres rapides, sont addictifs. Ceci explique notamment pourquoi des enfants habitués à consommer des plats préparés se révèlent incapables de manger des aliments naturels et sains.
Si vous doutez de l’impact des additifs alimentaires sur votre santé, même à court terme, arrêter de les consommer, ne serait-ce que pendant un mois et vous verrez la différence.
Chez vos enfants, supprimez également tout additif alimentaire et diminuez radicalement la quantité de sucres rapides, et vous constaterez, après une difficile période de sevrage, les effets positifs sur leur comportement, leur niveau d’excitation, la qualité de leur sommeil et leurs capacités intellectuelles.
